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Notre force réside dans la combinaison de nombreux domaines d’expertise

Vérification diligente
Nos spécialistes
Concepts clés

En plus de l’expérience et du savoir-faire que les partenaires et collaborateurs apportent dans chaque processus de vente, Dealmakers peut également faire appel à un réseau éprouvé d’experts professionnels spécialisés. Tom Vanraes est Managing Partner chez Moore Law, une équipe juridique forte de 35 avocats et collaborateurs.

« Le caractère multidisciplinaire est la grande force de notre cabinet – et par extension de Moore. Lorsque nous traitons une acquisition, ce sont bien entendu nos experts en matière de Corporate et M&A qui sont sollicités. Mais aussi les autres spécialisations. Un exemple qui illustre parfaitement la valeur ajoutée de cette manière de travailler dans les dossiers de reprise : notre expertise en Estate Planning, la structuration du patrimoine, s’inscrit tout naturellement dans le prolongement du M&A et de la Corporate Finance. Le droit du travail est régulièrement concerné dans les rachats, tant pour l’acheteur que pour le vendeur. Et dans le cadre d’une due diligence, les aspects fiscaux jouent un rôle non négligeable. À moins que l’on assiste à une restructuration sous forme d’une fusion ou d’une scission. »

Le juridique dans toutes les dimensions

La vente d’une entreprise implique de nombreux aspects : l’opérationnel, le financier, l’émotionnel… Le juridique est souvent un fil rouge qui traverse toutes ces dimensions. Tom Vanraes : « Parmi les rôles évidents, il y a celui que nous pouvons jouer dans la rédaction de la lettre d’intention (ou Letter of Intent, LOI) et de l’éventuel accord de vente, mais il nous arrive aussi régulièrement d’aller plus loin. En tant qu’avocats, nous nous concentrons sur tous les risques susceptibles de survenir après la vente.
Notre expérience en matière de litiges d’entreprise nous apprend ce qu’il faut rechercher pour éviter d’éventuels conflits ultérieurs. De plus, nous partageons avec Dealmakers notre passion pour l’entrepreneuriat. »

Le prêt vendeur, un précieux relais

« Le prêt vendeur peut être vu comme une solution destinée à donner un peu de confiance aux banques. En tant que vendeur, vous montrez clairement que vous croyez dans le projet. Dans la pratique, il s’agit souvent d’un pont entre ce que le vendeur aimerait obtenir et ce que l’acheteur peut mettre sur la table. »

« Dans ce contexte, je tiens à souligner toute l’importance d’une diligence raisonnable correctement effectuée. Pour l’acheteur, il est essentiel de se faire la meilleure idée possible de l’entreprise qu’il va acquérir. Il est très important de parvenir à une solution négociée : dans quelle mesure le vendeur est-il prêt à assumer la responsabilité des éventuels risques ancrés dans le passé ? Et quelles sont les restrictions que l’acheteur sera disposé à accepter ? Dans cette recherche d’un juste équilibre, un prêt vendeur peut fournir une certaine forme de sécurité à l’acheteur. Il semble logique que le vendeur n’accorderait pas de prêt s’il n’avait pas confiance dans la reprise. Par ailleurs, le prêt vendeur offre une certaine marge de négociation au vendeur et lui permet aussi de bénéficier d’un taux d’intérêt intéressant. »

Murailles de Chine

Dealmakers peut faire appel à un vaste réseau d’experts du réseau Moore. « Peut » mais ne doit pas forcément. Car il est bon de rappeler le sacro-saint principe selon lequel il existe des murailles de Chine entre Dealmakers (et par extension l’équipe Moore Corporate Finance) et les autres experts au sein de Moore. Dealmakers se réjouit de pouvoir compter sur Moore Law mais est tout aussi heureux de collaborer avec tout autre spécialiste qui bénéficie de la confiance du client. Avec certains d’entre eux, nous avons déjà réalisé de nombreuses transactions, à la plus grande satisfaction de tous.